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il y a 4 ans
Lorsque j'ai partagé ma vie pendant près de 4 ans avec Caroline, nous avons assouvi ensemble bon nombre de nos fantasmes qui peuplaient nos esprits. Personnellement, il y en a un qui m'a fait connaître un plaisir très agréable, c'est celui d'être femme, comme le chante si bien Michel Sardou.
N'oubliez pas, chers lecteurs, que ce n'était qu'un fantasme et qu'en aucun cas je ne souhaitais transformer ma vie, changer de sexe. En fait, cette idée m'est venue lorsque j'ai fait jouir pour la première fois Caroline en la sodomisant. Je me suis dis que si une femme pouvait jouir du cul, car cela a été vraiment le cas, elle n'a pas eu besoin de se toucher pour atteindre l'orgasme, donc, pourquoi un homme n'y arriverait pas.
Bref, cette remarque personnelle s'était plus ou moins effacée de mon esprit, lorsque la même Caro, pendant une autre partie de jambe en l'air endiablée, nous étions en 69, elle sur moi et s'est amusée à m'enfiler un doigt dans mon petit trou, puis deux, et me branler avec tout en me suçant. Et bien, pour la première fois lors de cette position, que l'on réserve généralement aux préliminaires, j'ai jouis, inondant la bouche de Caroline qui fut aussi surprise que moi de la rapidité de l'orgasme. Bien évidement, je ne pus que reconnaître que son initiative a été à l'origine de cette précocité, si bien qu'elle se leva et alla chercher un de ses godemichés.
"Puisque tu aimes ça, je vais t'enculer à mon tour. C'est vrai, quoi, pourquoi toujours moi ?"
Pour être tout a fait franc, je me suis trouvé plus effrayé qu'excité par cette proposition, ne sachant plus trop si mon anus voulait se faire perforer. Elle a donc pris les initiatives, me gratifiant alors d'une feuille de rose formidable, me libérant totalement de mes inhibitions et de mes craintes, amadouant mon petit trou afin de pouvoir y mettre 3 doigts. Le gode, bien lubrifié fut ensuite placé sur ma rondelle et avec une infinie douceur, elle me l'a mis au plus profond. Mais les va et vient entamés par la suite eurent d'abord raison de son poignet avant que je ne puisse jouir. Même si je trouvais cela agréable, cela ne m'avait pas amené au septième ciel. Un peu déçu, insatisfait, voir même frustré, je me suis 'vengé' en enculant la pauvre Caro qui, elle, eut son plaisir anal.
"Tu sais, rien ne vaut une vraie bite dans le cul pour jouir, moi même, lorsque je mets un gode, ce n'est pas pareil" me dit elle alors, comprenant ma déception, avant de continuer le plus sérieusement du monde
"Tu devrais te faire un mec"
Autant plus jeune, j'avais déjà organisé des concours de branlette avec des copains, allant même jusqu'a branler l'autre, autant l'idée de me 'faire' un mec ne m'avait jamais traversée l'esprit, combien soit il encombré par des idées cochonnes.
"Bah, ce n'est pas grave, et puis, j'aime te voir jouir quand je t'encule, cela suffit à mon bonheur" tentai je alors pour dédramatiser la situation.
Et puis, la vie a repris son cour, même si la feuille de rose fit plus souvent partie de nos petits jeux, jusqu'au jour ou nous avons été invité à un bal masqué chez des amis. Autant j'adore mes amis, autant je déteste les bals masqués. Premièrement, il faut avoir une idée originale et deuxièmement, on ne reconnaît jamais personne. Pour l'idée, l'originalité n'étant pas mon fort, j'ai laissé toute liberté à Caroline pour trouver les déguisements adéquates. Pendant une semaine, je la voyais feuilleter différentes revues, cherchant des idées et puis, 2 ou 3 jours avant la fête, elle me dit:
"Ca y est, j'ai trouve et je crois que cela te plaira! "
"Et alors, en quoi vas tu me transformer ?"
"Tu verras, cela sera la surprise"
Sachant très bien qu'elle est plus têtue que moi, j'arrêtais rapidement de la questionner et décidais d'attendre bien sagement le samedi pour savoir qui de la coccinelle, du matelot ou de l'empereur romain devrais je représenter dignement.
Le jour dit, lorsqu'au sortir de la douche, elle me bloqua dans la salle de bain, qu'elle commença à me caresser le chibre, j'ai d'abord cru qu'elle voulait un petit coup avant la soirée. Surtout qu'elle me fit asseoir sur le rebord de la baignoire et commença à me tailler une pipe dont elle a le secret. Mais très vite, alors que je me laissais sucer, la tête en arrière, les yeux clos, appréciant la douceur de ses lèvres, une fraîcheur inhabituelle entoura ma queue. J'ouvris les yeux pour voir un paquet de mousse à raser sur mon pubis et Caro, armée d'un rasoir, prête à me dégarnir le bouquet.
"Mais t'es barge, qu'est ce que tu fais?"
"Ben quoi, pourquoi il n'y aurait que moi qui ait le sexe rasé, et puis cela m'excite beaucoup tu sais"
"Ok, mais j'aurais l'air de quoi dans les vestiaires avec les potes"
"Tu diras que tu t'es fais opéré, ou alors, tout simplement la vérité, que cela fait mouiller ta copine"
Vu sous cet angle, il aurait été égoïste de ma part de le lui refuser. C'est vrai que c'est moi qui lui ai suggéré de se raser complètement la chatte et lorsque je l'ai vu ainsi la première fois, j'en ai jouis avant même de la pénétrer, rien qu'en la léchant. Alors, si mademoiselle désire ne plus bouffer du poil, pourquoi pas.
Et en moins de temps qu'il n'en faut pour le décrire, je me suis retrouvé à l'age de 10 ans, mais avec une grosse bite en plus. Car pour tout avouer, cela m'avait passablement excité, surtout lorsqu'elle m'a fait retourner et pencher en avant pour s'attaquer a mon anus, si bien qu'une fois terminé, je lui ai pris la tête et offert ma queue.
"C'est meilleur ?" Lui ai je demande
La bouche pleine, elle ne put que la secouer de haut en bas pour marquer son affirmation, et très adroitement et rapidement, elle s'est remplie de mon foutre.
"Voilà, jeune homme, tu me ressembles maintenant, enfin presque!"
Elle m'entraîna alors dans la chambre, ouvrit l'armoire et sortit un sac qu'elle retourna sur le lit et une garde robe entièrement féminine s'étala dessus.
"Maintenant, il n'y a plus qu'a finir le travail, voici ton déguisement! .....Et oui, ce soir, on inverse, je fais ton homme, et tu fais ma femme!"
"Euh, t'es sure ?"
"Ben oui, et je sens que je vais avoir envie de t'enculer"
"Mais si ce sont tes fringues, je ne risque pas de rentrer dedans"
"T'inquiète pas, j'ai des relations, tu te rappelles de Laura, la basketteuse, je lui ai juste expliquer le pourquoi du comment et il m'a prêtée ce qu'elle avait de plus sexy"
Pour être sexy, cela l'était. Elle prit les choses en main et m'affubla d'un porte jarretelle rouge, auquel elle fixa des bas noirs qui m'arrivaient en haut des cuisses, et rien que cela, ma queue repris du volume
"Toi alors, toujours en train de bander !"
Il faut vous dire que je suis un grand amateur de lingerie fine et Caroline me fait le plaisir d'en porter régulièrement. Et là, le fait d'en porter moi même, et bien c'est vrai, cela m'a fait bander (pas vous messieurs?). Alors lorsqu'elle a mis le petit string assorti, et bien celui ci ne pouvait dissimuler mon paquet
"Tu veux un seau d'eau froide ?" Ironisa alors Caro
"Rien qu'une petit pipe et cela devrait passer" lui répondis je par défi
"J'ai mal à la bouche à f o r c e de te sucer, calme toi tout seul"
En clair, je me la mets derrière l'oreille ou je m'assois dessus. La raison reprenant le dessus, j'essayais de penser à autre chose a chaque fois que je bougeais, sentant le fin tissus frotter entre mes fesses, je rebandais de plus belle. C'est dans les WC qu'à 5 contre 1, je me suis libéré de cette entrave.
"T'es vraiment un obsédé, mais maintenant que t'es tout mou, j'ai une idée. Enlèves le string et mets celui là"
Elle me tend un petit string en lycra couleur chaire qui lui appartenait et celui ci, tellement serré sur ma queue, m'empêcher toute érection, ou alors, douloureuse.
"Voila qui te calmera pour la soirée, ou as tu vu une femme qui bande toi"
Je remis l'autre string par dessus et là, cela m'aller en fait très bien. Le soutien gorge assorti ajusté, empli de coton, je me retrouvais avec un 100 C à faire pâlir mes copines. La robe était tout de même limite au niveau taille, me serrant pas mal, mais aux dires de Caroline
"Ca te moule ton joli petit cul, et puis cela fait sortir les marque des dessous, tu verras donc ce que c'est le regards des hommes qui cherchent a savoir si tu porte un strings ou un porte jarretelles, là ils n'en douteront absolument pas"
Il faut dire qu'ils n'avaient pas besoin de cela pour s'en rendre compte, car fendue assez haut sur le devant de la cuisse droite, on voyait la jarretelle et le haut du bas. Pour le reste, en tergal noir très moulant, des manches en mousseline qui avaient le mérite de dissimuler mes bras qui, sans être de déménageur, sont tout de même plus conséquents que ceux d'une femme normalement constituée. Bref, c'est vrai que je faisais assez poule si on me cachait la tête. Et c'est là que Caroline me montra tout son savoir faire en esthétisme car après une quinzaine de minute de soins du visage et des mains (vernis, maquillage, et je passe) elle termina en me coiffant d'une perruque blonde bouclée et ...
"Voila, admire toi dans la glace"
Bingo ! Qui c'est cette poulette ? J'étais abasourdi de la transformation que je ne m'imaginais pas une minute aussi réussie. Très honnêtement, si je n'avais pas su que c'était moi, je me serais prise pour une autre (Ca c'est une sacrée découverte, non, une phrase à mettre dans le bêtisier)
Alors que je 'm'admirais' dans mon miroir, Caroline vint derrière moi et mis la touche finale. Elle fixa deux clips à mes oreilles, et attacha un joli collier à mon cou
"Un petit cadeau pour ma chérie qui me fait bander" me souffla t 'elle à l'oreille
Et le comble, des escarpins à ma taille (41) mais surtout avec 5 cm de talons
"Fais ressortir tes fesses et tu seras la plus excitante de la soirée. Aller, sors de la chambre et va t'habituer à marcher pendant que je me change"
Une fois dans le salon, j'essayais de prendre des poses typiquement féminines, des mimiques que je leur avais remarqué, prenant mon rôle parfaitement à cœur. Je m'observais en même temps dans le miroir du living et tentais de corriger les petits défauts liés à mes antécédents masculins. Et oui, on ne se débarrasse pas comme cela de plus de 20 ans de vie de garçon!.
Je venais à peine de finir la préparation d'un petit apéritif, que Caroline sortit de la chambre. Que dis je Caroline, un petit mecton qui traînait dans mon appartement. Le cheveux courts et très brun, une petite moustache fine, un costume noir à rayure blanche, des mocassins pointus blancs également, l'allure du petit maquereau des années 60/70. Mais ce qui me surpris le plus fut d'une part, de ne pas remarquer son 90 C qui ne m'a jamais laissé indifférent, et d'autre part, voir son visage dans le même état que le mien lorsque je ne me rase pas pendant 2 jours. C'était vraiment impressionnant.
"Tu me mettras un Ricard, Chérie!" me dit elle dans une voix qu'elle f o r ç a grave
"Tu m'apporte mes clopes, mon verre et si on a le temps, tu me ferras une petit pipe" le tout en allant s'asseoir sur le canapé.
Bon, pour le Ricard, elle n'avait tout de même pas changé ses goûts à ce point qu'elle se contenta d' une coupe de champagne, mais pour le reste, je me suis exécuté(e) comme une gentille petite femme soumise et assis(e) à ses cotés, j'ai commencé à remonter ma main sur sa cuisse. Comme je voyais qu'elle (il) se laisser faire, sachant pertinemment qu'il lui était impossible de se greffer une bite en moins d'une heure, je lui mis la main au paquet. Et là, surprise, un truc rond d'une dizaine de cm, et deux boules dessous.
"m e r d e , qu'est ce que c'est?" (il faut imaginer une jolie femme, moi, effrayée parlant avec une voix grave)
"Bien c'est ma bite, chérie, ne t'inquiète pas, je te la mettrai dans le cul lorsque j'aurais 5 mns, allez, on se casse!"
En descendant de l'appartement, Mme Michu, la concierge inévitable de la résidence, fut le premier test de notre transformation réussie puisqu'elle nous interpella par un "Bonsoir Messieurs dames" tout à fait normal, même si elle ne pu s'empêcher de reluquer derrière ses rideaux ce couple inconnu dans ces lieux.
Caro, en tant que nouveau macho, prit les commandes de la voiture oubliant cependant la marque de courtoisie qui aurait consisté à ouvrir la portière de sa compagne, ce que je lui fit remarque.
"Désolée ma chérie, c'est que je n'ai pas encore l'habitude" s'excusa t elle en me gratifiant d'un baiser qui lui, n'avait rien de masculin et qui me fit comprendre que ma soirée serait délicate lorsque le début de mon érection fut contrariée par le string pressant.
"Je ne sais pas si je vais tenir toute la soirée comme cela, manger, parler et danser me sera très difficile"
"Mais qui t'as dit que nous allions manger, parler et danser"
"Je te rappelle que c'est un bal masqué et qu'en général on y mange, on y parle et on y danse"
"Ah, je ne t'ai pas dis, Sylvie m'a appelée en milieu de semaine pour me dire qu'ils étaient obligés de reporter, son père étant hospitalisé"
"Qu'est ce que c'est que ces conneries, et puis d'abord qu'est ce qu'il a son père" C'est que je le connais bien le Gérard, c'est notre trésorier du club.
"Et ensuite, tu peux me dire ce que je fous déguisé en pétasse si on ne va pas à un bal masqué? "
Elle s'arrêta alors sur le trottoir, me regarda dans les yeux, l'air triste et suppliant, certainement contrariée par mon attitude négative
"Excuses moi, je pensais te faire plaisir, je me suis dit que cela pourrait être sympa d'inverser nos rôles, de sortir ainsi et vivre une soirée différente, toi te faire draguer, moi regarder les autres filles, sortir des sentiers battus et, pourquoi pas, choquer les gens. Regarde nous, personne ne pourrait nous reconnaître, et puis je dois te l'avouer, cette situation m'excite beaucoup et j'ai hâte d'être à a fin de la soirée pour t'enlever ta petite culotte et te faire l'amour".
"Mais où va t 'on comme ça, tu aurais pu me faire l'amour à l'appart"
"Mais j'ai tout prévu, j'ai réservé un petit restau pour les petits tourtereaux que nous sommes"
"Tu veux dire que l'on va au restau comme ça? Mais, des que l'on va parler, le mec va se rendre compte de la supercherie"
"Et alors, est ce que cela l'empêchera de nous servir, on a bien le droit de faire cela non, et je suis sur que, belle comme tu es, tu feras tout pour l'exciter"
Décidément, elle avait réponse à tout, et puis, pourquoi pas, n'avais je jamais eu cette idée, de jouer les croqueuses d'hommes, de les aguicher, de montrer mes bas et ma culotte, bref de faire tout ce qui me plait chez les femmes.
En entrant dans le restau, c'est Caro qui, en tant que 'chef de famille' s'annonça à la réception, prenant une voix légèrement masculine qui jeta un trouble chez la jeune serveuse. Et lorsque celle ci aperçu ma robe assez sexy et le haut de mes bas en enlevant mon manteau, elle eut un petit sourire amusé surtout quand je lui ai dit "merci mademoiselle" dans une voix que j'ai tenté la plus aiguë possible, mais qui ne l'avait certainement pas convaincue. Mais on y était, et j'assumais. En traversant la salle pour rejoindre notre table, je pris une démarche très déhanchée, à la limite de la provocation, attirant des regards amusés, d'autres horrifiés, surtout que Caroline me tenait pas la taille et laissait tranquillement descendre sa main sur mes fesses. Lorsque la serveuse nous plaça, je m'étonnais de voir 3 couverts à la table, et interrogeant Caro du regard
"Ah oui, je ne t'ai pas dit, j'ai invité un ami, Simon, qui m'a dit rêver passer une soirée coquine avec un couple, cela ne te dérange pas au moins!"
"T'es vraiment une petite perverse, ....mais c'est pour cela que je t'aime"
Ajoutant qu'elle avait bien monté son coup, et que jamais je n'aurais eu la même imagination coquine.
"Eh, c'est aussi pour cela que tu m'aimes, non?"
Dans les minutes qui suivirent, Simon vint nous rejoindre. Une vingtaine d'années, typé tahitien de par sa mère, il était d'une finesse incroyable, et ses yeux bleus ressortant au milieu de son visage, encadré d'une chevelure frisée, je me suis alors dis que cela devrait être lui qui aurait du être à ma place.
"Bonsoir Mademoiselle, vous êtes vraiment ravissante" me dit il en me baisant la main
"Salut Didier" dit il à Caroline en lui serrant vigoureusement la sienne
"Didier?, mais ou est elle allée chercher tout cela" me dis je alors, et puis, c'était maintenant sur, lui aussi était dans la confidence.
"Salut Simon, je te présente Virginie, ma femme"
Ca y est, maman, je suis débaptisé. Virginie, remarque, cela me va bien!
Le repas se passa de manière assez bizarre car autant Caroline que moi même essayions d'avoir une conversation en rapport à notre situation. Elle, parlant informatique et voiture, alors qu'elle n'y connaissait rien, et moi parlant magasins et fringues avec la même méconnaissance. Au dessert, par contre, le sujet était commun puisqu'il avait tout doucement glissé sexuellement.
"Ta femme est ravissante, Didier, tu ne dois pas t'ennuyer dis moi" dit il à Caro.
"Mais Didier est aussi un bon coup" coupais je alors "il n'a pas son pareil pour m'emmener au septième ciel"
"N'en rajoute pas ma chérie, je sais très bien que parfois, tu t'y envoies toute seule avec tes petits objets, preuve que je ne te comble pas totalement" tout en me disant cela, j'ai senti sa main se poser sur ma cuisse et remonter doucement vers ma culotte
"D'ailleurs, si tu as une grosse envie, Simon pourrait peut être me donner un coup de main, ...ou d'autre chose, 2 hommes pour toi, cela ne te fais pas mouiller?"
La coquine savait vraiment s'y faire car sa main était maintenant entre mes cuisses et c'est vrai que ma bite ne demandait qu' à faire exploser le tissus du string, et se retournant vers Simon
"Qu'est ce que t'en pense, Simon, en plus tu verras, elle a un petit cul très accueillant"
"Si tu me proposes un sandwich en dessert, je ne peux qu'accepter, et bien rien qu' à voir ses miches, je t'avouerais que cela me fais beaucoup d'effet"
Et en plus, ils devenaient odieux à mon égard, me traitant comme de la marchandise, décidément, ces hommes, tous des mufles !
Quittant notre table, ce fut au tour de Simon de me flatter le popotin en m'aidant à me lever mais démontra son savoir vivre en réglant l'addition. Devant la serveuse qui encaissait, Caroline ne put s'empêcher d'en rajouter une couche en s'adressant couinement à Simon
"Vous venez boire un verre à la maison, vous verrez, Virginie est une excellente femme d'intérieur!"
Et vlan! si c'est le souc chez moi, ça va me retomber dessus!
Chacun prit sa voiture, et cette fois ci Caro eu la galanterie de m'ouvrir la porte et, une fois installée au volant, se pencha vers moi pour m'offrir un baiser plein d'amour ponctué par un
"Je t'aime" en guise de remerciement.
A peine rentré que Caro invita Simon à s'installer dans le fauteuil faisant face au divan sur lequel elle s'affala et m'interpellant
"Tu nous sers du champagne, chérie"
Décidément, elle prend vite les bonnes habitudes, celle là
Une fois mon rôle de maîtresse de maison effectué, j'étais assis(e) à coté de mon chéri, Simon nous faisant face sur le fauteuil. Caro posa sa main sur ma cuisse et doucement, remonta ma robe pour dévoiler mes jarretelles au regard de Simon. Puis, me prenant par le cou, elle m'embrassa et me dit carrément
"Suces moi"
Alors là, je dois avouer que je me suis sentie pour le moins femme, amoureuse et désireuse, et prestement, je me suis mis à genoux entre ses jambes, offrant alors une vue superbe de mon postérieur dévoilé à Simon, et remontant doucement mes mains sur ses cuisses, je suis arrivé à la bosse qui se trouvait à son entre jambes. Je l'ai caressais un peu à travers le tissus puis j'ai déboutonné son pantalon. Elle s'est alors mise debout devant moi, afin de faciliter mon acte, et je dévoilais ainsi un joli slip kangourou joliment garni. Je mis ma bouche dessus et commença à la lécher a travers le tissus avant de ne faire descendre le slip et de voir gicler un petit gode qui lui était fixé à la taille. Oh pas bien gros, mais très ressemblant avec ses 2 petites couilles qui se trouvaient dessous.
Avant d'entre en action, je ne pus m'empêché de déposer un baiser sur son pubis et l'odeur de sa chatte venait enivrer mes narines. J'ai pris alors sa queue en bouche et tentais d'appliquer le même traitement qu'elle me faisait en tant normal, et tout en la pompant, je lui caressais les couilles. Là, j'ai senti la fontaine qui coulait de sa chatte et glissant mon doigt dessus, elle eu un orgasme immédiat
"Et bien, elle a l'air de savoir y faire" commenta Simon qui n'avait pas perdu son temps et avait enlevé son pantalon
"Et bien viens tester" lui lança Caro
Et voila comment je me suis retrouvé, après m'être entraîné sur le gode, avec une vraie bite dans la bouche et je n'ai pu que m'apercevoir que ce n'était pas si désagréable que cela. Elle était comme lui, fine mais longue, avait assez bon goût, et je m'appliquais à l'astiquer correctement, sentant la mienne qui voulait sortir de son entrave. Caro s'est mise derrière moi, à fait descendre la fermeture éclair de ma robe, me libérant enfin de sa contrainte, et une fois qu'elle en fit autant avec mes culottes, ma bite s'en est trouvée toute joyeuse de retrouver l'air libre et pouvoir exprimer tout le plaisir que cette situation provoquait. Bientôt sa petite langue curieuse vint se placer sur ma rosette et entra en action, tournant, humidifiant, entrant dans mon petit conduit étroit.
Simon pour sa part, avait l'air d'apprécier le traitement que je lui faisais subir, ses mains sur ma tête, guidant mes mouvements, gémissant son plaisir. Caro, à genou derrière moi, mis sa queue factice devant mon cul, et hop, l'introduisit au fond, sans aucune douleur. Après quelques va et viens dans mon fondement, elle dit:
"Viens Simon, elle est prête à prendre"
Et moi, en tant que femme soumise, je me suis mise à quatre pattes et, tendant mes fesses vers lui, j'attendais patiemment qu'il m'encule. Lorsque sa bite s'engouffra dans mon conduit, j'eus alors une impression totalement différente de celle avec le gode et lorsqu'il faut complètement en moi, sentir ses couilles sur mes fesses alors que ses main me tenaient par mes jarretelles, me donna une érection impressionnante. Caro, qui l'avait remarqué, (en fait, elle n'attendait que cela, ne se fit pas prier et glissa sous moi pour me prendre dans sa bouche quelques instants. C'est elle qui pris alors la direction des opérations, demandant à Simon de stopper momentanément ses mouvements, me fit relever, et se plaçant a devant moi à quatre pattes, écartant ses fesses, me pria de la sodomiser en même temps.
Le temps de se mettre tous les trois en rythme, et l'orgasme fut total. Simon se déversa dans sa capote, me traitant de tous les noms d'oiseau, moi même, n'en pouvant plus, inondais les entrailles de Caroline, et elle, aussi bruyamment que d'habitude, cria son plaisir.
Ce dépucelage anal fut une réussite et Simon a bien eu son sandwich en guise de dessert. Après s'être débarrassé de nos accoutrements, ce qui me montra a quel point Caroline tenait à cette soirée, s'étant faite souffrir tout ce temps en se comprimant la poitrine à l'aide d'un bandage de contention à la limite du supportable, tout cela pour la faire disparaître, et une bonne douche, nous avons retrouvés chacun notre rôle, ce qui en fait, était tout de même le meilleur, et qui ne m'a pas empêcher de faire l'amour aussi bien à ma chère Caroline qu' à ce tendre Simon, découvrant ainsi que ma petite chérie était en fait une sacrée voyeuse.
C'est elle qui nous a demandé de faire un 69 entre nous alors que, installée dans le fauteuil, elle s'est faite jouir de ses doigts en nous matant.
Personnellement, cette expérience m'appris deux choses. La première est que j'adore toujours autant, si ce n'est plus, les femmes, mais j'avoue qu'un homme peut aussi faire jouir un autre homme et qu'en fait, il n'y a rien d'anormal et surtout qu'un membre vivant dans les fesses, c'est beaucoup plus excitant qu'un vulgaire godemiché. La seconde, je ne pourrais jamais être une femme, Dame nature en a fait le choix et je crois que, à quelques exception qui je comprends tout a fait, c'est un choix que nous nous devons de respecter.
(Et puis c'est vrai que les pipes, si c'est long, cela fait mal à la bouche!)
PascalKer
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